Informations sur la disposition Ergopti

Genèse et inspirations

La genèse de la disposition Ergopti remonte à début 2022, suite à la découverte de la disposition Optimot. À ce moment-là, j’étais un utilisateur du BÉPO depuis déjà de nombreuses années. Les améliorations d’Optimot par rapport au BÉPO sont significatives, avec notamment une forte diminution des bigrammes à un doigt (

SFB
« Same Finger Bigram », c’est-à-dire nécessiter le même doigt pour taper deux lettres qui se suivent. Par exemple, en AZERTY un SFB serait UN qui implique d’utiliser l’index droit pour appuyer successivement sur ces deux touches. Et pourtant, cette combinaison est si fréquente en français…
s) et un meilleur placement des lettres pour l’anglais. Cependant, l'idée d'apprendre Optimot, pour peut-être découvrir encore par la suite une disposition encore meilleure, était peu attrayante.

Pour m’assurer de ne pas avoir à passer mon temps à apprendre de nouvelles dispositions, toutes meilleures les unes que les autres, la solution a été radicale : développer la mienne, optimisée pour mes besoins. Évidemment, une telle tâche nécessite un investissement en temps considérable. Il faut déjà comprendre ce qui fait une bonne disposition, puis réarranger les touches pour en créer une au moins aussi bonne, si ce n’est meilleure, que les autres dispositions déjà disponibles. Enfin, il faut tester soi-même la disposition, car certains défauts n’apparaissent pas toujours sur un analyseur théorique. Et pour la tester, il faut réapprendre totalement à taper au clavier.

Les premières versions de ce projet, baptisées Optim7, étaient des dérivés directs d'Optimot. L'objectif initial était de peaufiner légèrement les scores sur les analyseurs de disposition existants et de corriger des choix qui ne me convenaient pas. Par exemple, je voulais les chiffres en accès direct, ce qui n’est pas le cas en Optimot, l’auteur préférant y mettre les symboles.

Rapidement, Ergopti s'éloigna d'Optimot sur plusieurs aspects fondamentaux. L'un des points clés était ma volonté d'optimiser les roulements, entraînant de nombreux tests de dispositions des touches de la homerow, notamment sur la partie droite avec les consonnes. Un des choix majeurs fut de privilégier un agencement SNTR plutôt que le TSRN du BÉPO et d’Optimot. En effet, le bigramme NT est le plus fréquent des bigrammes consonne-consonne, et il semblait pertinent de l'optimiser pour qu'il se réalise sur des doigts consécutifs. D’autant que NTR se réalise également en roulement.

L’agencement final des quatre lettres de la rangée principale droite a été soigneusement conçu pour maximiser les bigrammes consonantiques, avec une disposition harmonieuse. Seuls les bigrammes ST et TS (comme dans « STATS ») ne profitent malheureusement pas de cette optimisation en roulement.

La disposition a beaucoup évoluée au fil du temps. En particulier, la touche sur l’index gauche a plusieurs fois changé : Q, puis P, puis W et enfin la création d’une touche spéciale et le déplacement de É sur l’annulaire gauche.

Bien que la création de Ergopti ait été un processus étalé sur plusieurs années, près de 90% de la disposition est restée constante. Les ajustements concernaient principalement le déplacement de certaines lettres, nécessitant ainsi des phases de réapprentissage régulières. Néanmoins, la plupart des changements se sont avérés non pertinents, ce qui explique l'absence de modifications majeures entre les premières versions d’Optim7 et la version finale de Ergopti.

À un certain stade de développement, il devint évident que ma disposition « Optim7 » n'était plus simplement une variante d'Optimot. Le besoin de renommer ce projet s’est alors imposé. Grâce à la suggestion d’un utilisateur nommé Zigmund sur Discord, après avoir longtemps cherché avec lui un nom aussi remarquablement bien trouvé que celui d’Optimot, le nom HyperTexte fut d’abord retenu. Cependant, il s’avéra par la suite que ce nom était mal choisi, car déjà utilisé sur de nombreux sites ailleurs (ce qui n’est pas étonnant, cf. « lien hypertexte »). La découverte de la disposition, notamment grâce à un moteur de recherche, s'en trouvait compromise. Le site de présentation n’apparaissait même pas en première page des résultats.

Environ un mois après la sortie publique de la disposition, HyperTexte fut renommée Ergopti, son nom final. Ce nouveau nom reflète à la fois l’ergonomie de la disposition et l’optimisation de celle-ci, la lettre O faisant le lien entre les deux (ergo[nomie] & opti[misation]). En outre, il est court, d’une longueur idéale de 7 lettres, et peu présent en ligne. Ce nouveau nom adopté, le nom de domaine https://ergopti.fr fut également acquéri à ce moment-là.

Comment la disposition a été créée

La première étape dans la création d’Ergopti a été de partager les touches du clavier en deux groupes : main gauche et main droite.

Pour optimiser ce critère, les voyelles ont toutes été placées d’un côté du clavier. Celles-ci étant majoritairement précédées et suivies de consonnes, cela amène immédiatement une grande alternance des mains. À noter que cette idée est loin d’être nouvelle, car elle est déjà appliquée dans presque toutes les dispositions alternatives : Dvorak, BÉPO, Optimot, etc.

Dans le cas d’Ergopti, les voyelles ont été placées sur le côté gauche. La raison est que sur la plupart des claviers standards il y a moins de touches sur ce côté. Le côté droit a en effet trois colonnes de touches pour l’auriculaire alors que l’auriculaire gauche n’en a qu’une. Ces nombreux emplacements sont précieux, surtout pour les langues ayant besoin de caractères supplémentaires, comme les accents en français. Le nombre de consonnes étant largement supérieur au nombre de voyelles, même en comptant les voyelles accentuées du français, les placer du côté avec le plus de touches était logique.

La deuxième étape dans la création de la disposition a été de placer les touches les plus souvent utilisées le plus proche possible des doigts. Les doigts sont effectivement toujours censés reposer sur la rangée de repos du clavier (la ligne du milieu). Il est donc logique de chercher à placer sur cette rangée les lettres les plus utilisées pour réduire les déplacements des doigts aux touches.

La troisième étape a été de déplacer les lettres pour réduire au maximum le nombre de

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« Same Finger Bigram », c’est-à-dire nécessiter le même doigt pour taper deux lettres qui se suivent. Par exemple, en AZERTY un SFB serait UN qui implique d’utiliser l’index droit pour appuyer successivement sur ces deux touches. Et pourtant, cette combinaison est si fréquente en français…
s, tout en maximisant les roulements. Cette étape est la plus difficile, car intervertir seulement deux touches peut faire passer d’une disposition excellente à une disposition très moyenne. Il faut effectivement avoir en tête les bigrammes les plus fréquents et s’assurer que déplacer une touche à un autre emplacement ne va pas empirer la situation.

Simplification et utilisation de la couche AltGr

Ergopti utilise intensivement la couche AltGr. Celle-ci permet de réduire drastiquement les distances parcourues pour atteindre certaines touches. Un autre avantage est le fait que cette touche modificatrice est aisément atteignable par le pouce droit sur un clavier standard. Cela permet donc de mettre ce doigt à contribution, contrairement à l’AZERTY qui ne l’exploite pas suffisamment.

N’ayant nullement besoin de tous les caractères exotiques et touches mortes du BÉPO ou d’Optimot, la majeure partie fut supprimée pour ne conserver que l’essentiel. Cette simplification permit de libérer de nombreux excellents emplacements sur la couche AltGr et me laissa assez de place pour y loger tous les symboles.

Ainsi, plus besoin d’étendre les doigts pour atteindre la rangée des chiffres pour taper des parenthèses, guillemets ou opérateurs mathématiques. En outre, les chiffres sont quant à eux passés en accès direct, un changement très appréciable lors de l'utilisation quotidienne.

Atouts de Ergopti+

La singularité de Ergopti ne réside pas seulement dans ses excellents scores en français, anglais et en programmation, où elle rivalise avec les meilleures dispositions actuelles. Sa version étendue, Ergopti+, pousse encore plus loin l’efficacité de cette disposition déjà très performante, en la rendant véritablement exceptionnelle.

Le qualificatif d’exceptionnel n’est pas exagéré : Ergopti+ permet, une fois maîtrisée, de réduire presque totalement les

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« Same Finger Bigram », c’est-à-dire nécessiter le même doigt pour taper deux lettres qui se suivent. Par exemple, en AZERTY un SFB serait UN qui implique d’utiliser l’index droit pour appuyer successivement sur ces deux touches. Et pourtant, cette combinaison est si fréquente en français…
s, y compris ceux liés à la répétition d'une même touche. Cela est rendu possible grâce à la touche spéciale , permettant de réitérer la frappe de la touche précédente avec une fluidité inédite, ainsi qu’à la touche , de réduction des
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s.

Il convient de préciser que l’idée de cette touche de répétition n’est pas de mon invention. Elle provient d'une (voire plus) disposition anglophone dont je ne retrouve plus le nom. D'autres éléments ont également été empruntés, comme l'utilisation d'AHK (AutoHotKey) dans la disposition Boo, pour modifier le comportement des combinaisons de touches. Ce système permet d'optimiser encore davantage les roulements sur les touches adjacentes qui n'engendrent pas de bigrammes habituels.

Autocritiques

L’importance des compromis

Il est évident qu’il n’est pas possible de maximiser plusieurs paramètres simultanément. Bien que largement supérieure à de nombreuses dispositions telles que l’AZERTY et même le BÉPO, Ergopti est donc malheureusement loin d’être parfaite. En effet, la création d’une disposition est une affaire de compromis. Des choix ont dû être effectués pour maximiser chacun des critères d’évaluation sans trop compromettre les autres.

Par exemple, le E n’est pas sur l’index de la rangée de repos. Cela peut sembler étrange, tant son apparition est incontournable dans les textes (sauf dans le livre La Disparition qui arrive l’exploit de ne jamais l’utiliser). Le E est la lettre la plus fréquente et de loin. Elle est si fréquente que sur le clavier affichant les touches les plus utilisées de la page d’accueil, une transformation mathématique a été nécessaire pour que les fréquences relatives aux autres touches soient visibles et comparables.

Pourtant, cette lettre n’a pas été placée sur l’index, notamment afin de réduire les

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« Same Finger Bigram », c’est-à-dire nécessiter le même doigt pour taper deux lettres qui se suivent. Par exemple, en AZERTY un SFB serait UN qui implique d’utiliser l’index droit pour appuyer successivement sur ces deux touches. Et pourtant, cette combinaison est si fréquente en français…
s. En effet, si le E avait été sur l’index, alors les 6 touches tapées par ce doigt auraient possiblement générées des
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« Same Finger Bigram », c’est-à-dire nécessiter le même doigt pour taper deux lettres qui se suivent. Par exemple, en AZERTY un SFB serait UN qui implique d’utiliser l’index droit pour appuyer successivement sur ces deux touches. Et pourtant, cette combinaison est si fréquente en français…
s avec le E. E s’associe avec quasiment toutes les lettres, donc ce serait une très mauvaise idée. Au contraire, la voyelle U ne s’associe pas avec beaucoup de lettres, elle est donc beaucoup plus pertinente à cet emplacement. D’autant que cet arrangement des voyelles permet alors de très bons roulements.

En outre, parfois tous les emplacements sont mauvais pour une touche, et il faut choisir le moins pire. Par conséquent, Ergopti a évidemment des défauts, dont les principaux sont recensés ici.

Distances non optimales

  • E est sur le majeur et non sur l’index. Théoriquement, l’index est plus fort et devrait donc être l’endroit idéal pour la lettre E qui est de loin la lettre la plus fréquente, loin devant la deuxième lettre la plus fréquente de l’alphabet.
  • Le K, bien que très rare en français et peu fréquent en anglais, est à une position assez lointaine sur un clavier ISO, car en plein milieu du clavier. Il est notamment utilisé en anglais avec les combinaisons SK, CK, etc. Sur un clavier Ergodox, ce problème s’atténue, en particulier sur les claviers concaves de type Kinesis Advantage ou Glove80.
  • Les touches Q et Z pourraient aussi être critiquées, car elles nécessitent des extensions de l’auriculaire droit, étant sur une autre colonne que celle de repos.

Non compatible avec les claviers compacts

Certains claviers ont moins de touches, par exemple en n’ayant que 6 colonnes, voire seulement 5, par main. Ergopti a été conçue pour exploiter toutes les touches d’un clavier standard, donc 6 colonnes à gauche et 7 à droite. Sur la dernière colonne de droite, il n’y a cependant que les touches mortes ◌̂ et ◌̈ qui seront beaucoup plus rarement utilisées. Avec Ergopti+, ces touches deviennent même inutiles, car elles sont réalisables autrement.

Il n’en demeure pas moins que Ergopti n’est pas 1DFH (1u distance from home). Les lettres accentuées du français étant en accès direct avec Ergopti, il est impossible de réaliser une disposition 1DFH, car il y a trop de touches à placer. La disposition Ergo-L est quant à elle une disposition 1DFH, mais au prix d’une touche morte permettant de réaliser les accents.

Une solution simple pour adapter Ergopti à un clavier plus compact serait de supprimer la touche ◌̈ qui peut déjà être réalisée en Shift + AltGr + T (T pour Tréma). De même, la touche Ê pourrait être remplacée par la touche morte ◌̂. En Fait, la touche morte de tréma pourrait même être en Shift de cette touche morte circonflexe. Mais tout ceci n’est pas idéal, et les espaces insécables et fines insécables respectivement disponibles en AltGr + ◌̈ et Shift + ◌̈ ne seront plus disponibles.

Note : Une version 1DFH de Ergopti a été développée. Elle est disponible sur la page de benchmarks ainsi que sur la page de téléchargements, par installation via Kalamine.

Quelques
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s restants

  • SC engendre beaucoup de
    SFB
    « Same Finger Bigram », c’est-à-dire nécessiter le même doigt pour taper deux lettres qui se suivent. Par exemple, en AZERTY un SFB serait UN qui implique d’utiliser l’index droit pour appuyer successivement sur ces deux touches. Et pourtant, cette combinaison est si fréquente en français…
    s, mais c’est à la moins pire combinaison (en fréquence d’apparition, NC > CR > CT > SC) et est en plus sur l’index qui est un doigt fort alors que le pire aurait été que cela soit sur l’annulaire ou l’auriculaire.
  • PT : il est triste de se dire que pour quelqu’un utilisant une disposition optimisée, l’écriture même de ce mot ne l’est pas…
  • EO et OE : bien qu’inexistants en français, ces bigrammes sont relativement fréquents en anglais (people, does, etc.)
  • SH n’est pas très agréable à réaliser sur un clavier ISO à cause du décalage des colonnes. En revanche, sur un clavier Ergodox, c’est une combinaison très agréable à réaliser.

Note : Tous ces problèmes de

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s sont résolus grâce à l’utilisation de Ergopti+, y compris pour les
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« Same Finger Bigram », c’est-à-dire nécessiter le même doigt pour taper deux lettres qui se suivent. Par exemple, en AZERTY un SFB serait UN qui implique d’utiliser l’index droit pour appuyer successivement sur ces deux touches. Et pourtant, cette combinaison est si fréquente en français…
s encore plus rares qui ne sont pas listés ici.

Alternance des mains non maximale

  • W devrait théoriquement plutôt être du côté droit du clavier, car cette lettre est souvent précédée ou suivie d’une voyelle. Toutefois, la placer sur l’index gauche permet de mettre cette lettre sur un excellent emplacement tout en n’entraînant aucun
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    supplémentaire sur l’index gauche. Ainsi, la distance des doigts aux touches s’en trouve diminuée, et des roulements très confortables pour l’anglais sont introduits, notamment avec le O (WO, OW).

Manque de logique pour certains placements de touches

La touche À était auparavant au-dessus du A et la touche È en-dessous du E. C’était logique, le A avec le A et le E avec le E. En outre, AltGr + È donnait \, en miroir de AltGr + É qui donne /, tandis que AltGr + À donnait `.

Cependant, les touches À et È ont depuis été interverties. En effet, Ergopti+ utilisant beaucoup la touche À, il convenait de la mettre sous un doigt fort et non plus sur l’auriculaire. Les symboles en AltGr ont en revanche été conservés, car le \ est plus fréquemment utilisé que le `, en particulier en LaTeX. En résulte un placement moins logique des caractères en AltGr pour ces deux touches.

Manque de caractères et non optimisation pour les autres langues

Ergopti possède peu de touches mortes et de couches de symboles. En effet, la disposition ne se prétend pas être exhaustive en incorporant tous les alphabets des langues européennes comme le BÉPO, ou encore le cyrillique, l’écriture phonétique, les pièces d’échec, etc. comme Optimot. Ces couches n’intéressent que peu d’utilisateurs et occupent des emplacements du clavier très accessibles pour une utilisation très rare. En outre, Ergopti a été optimisée pour le français et l’anglais, elle n’a pas été pensée pour être utilisée dans d’autres langues.

La philosophie derrière Ergopti est de fournir une base de réflexion, mais pas nécessairement de promouvoir l’utilisation de la disposition « Ergopti ». Rien ne vaut une disposition créée sur-mesure pour vos usages. Par exemple, si vous voulez écrire régulièrement en allemand, il serait judicieux de mettre la touche morte des trémas à un endroit plus accessible. De même, si vous écrivez souvent en espagnol, il faudrait trouver un emplacement pour la lettre Ñ (actuellement réalisable en ^ + N), etc. Sachant tout de même que Ergopti n’a pas été optimisée pour ces langues et n’est probablement pas la disposition la plus adaptée si vous écrivez principalement dans celles-ci.

Licence

La disposition de clavier Ergopti, ses pilotes ainsi que son site de présentation https://ergopti.fr sont distribués sous la licence MIT. Le code source est librement disponible sur https://github.com/adrienm7/ergopti.

La license MIT est une licence permissive, simple et courte, qui n'impose que quelques conditions, notamment la préservation des mentions de droits d'auteur et de licence. Les travaux sous cette licence, y compris les modifications et œuvres dérivées, peuvent être redistribués sous d'autres termes, et ce, même sans fournir le code source. La seule condition est de conserver les mentions de licence et de droits d'auteur.

Permissions

  • Utilisation commerciale ;
  • Modification ;
  • Distribution ;
  • Usage privé.

Limitations

  • Absence de garantie ;
  • Aucune responsabilité.

Conditions

  • Conservation des mentions de licence et des droits d'auteur.

Contact

Le créateur de la disposition Ergopti et de ce site est Adrien MOYAUX.

Vous pouvez créer une nouvelle Issue sur la page GitHub du projet si vous avez une question ou un problème, notamment pour l’installation.

Il est aussi possible de rejoindre le serveur Discord BÉPO | ErgodisErgopti dispose d’un canal dédié, simplifiant les échanges.